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[vc_row][vc_column][vc_column_text]S’il n’en est pas toujours la cause directe, le stress est malgré tout à la base de toutes les maladies, même les plus graves. Il agit soit comme un facteur déclenchant soit comme un facteur aggravant. Il précède très souvent la dépression qui est la plupart du temps l’aboutissement d’un cumul d’évènements stressants qui peuvent parfois complètement passer inaperçus.

Peut-on dire que le stress est à la source de tous les maux ? C’est ce qui semble se dégager de nombreuses études et recherches médicales. Le stress chronique semble avoir des conséquences majeures sur la santé. Dangereux pour l’équilibre psychologique et physique, il déclenche des douleurs quasi-permanentes ou des maladies organiques chroniques.

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Inégaux devant le stress

Nous ne réagissons pas tous de la même façon au stress et la réceptivité au stress est variable selon les individus. Le stress est une notion subjective car une même stimulation extérieure peut affecter très différemment chaque individu. Toutefois, sur le plan physiologique, les modifications chimiques sont les mêmes.

Les réactions au stress seront différentes en fonction de l’environnement, du milieu familial, du vécu mais aussi des gènes et du terrain biologique de la personne. Le stress provoque des modifications de nos traits de caractère : on devient irascible, l’insomnie et les troubles du sommeil apparaissent, la fatigue augmente, il y a perte d’appétit ou crises de boulimie.

Le stress affaiblît notre système immunitaire. Sans être directement responsable des maladies telles que  ulcères, cancers, troubles de la thyroïde, ou infertilité, il n’en est pas moins un facteur aggravant. A long terme, le stress peut affecter le cerveau et causer de la fatigue. On perd de l’énergie, et il nous devient pénible de se concentrer, réfléchir ou accomplir un travail efficace.

Enfin, le stress affecte parfois le système digestif provoquant des crampes, des maux de ventre, de la diarrhée. Il augmente la production d’acide par l’estomac qui peut contribuer à la formation d’ulcère.

Le stress peut provoquer de l’eczéma, des démangeaisons, des douleurs musculaires et il peut y avoir, à l’extrême, une perte du désir et de plaisir. Sensibilité et nervosité accrues, crises de larmes ou de nerfs, angoisse, excitation, tristesse, sensation de mal-être,  sont des conséquences directes de notre niveau de stress.

Le stress est souvent responsable également de la perturbation de notre concentration, entraînant des erreurs et des oublis, ou des difficultés à prendre des initiatives ou des décisions.

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